1.cours de français

Au fait m'dame c'est quoi l'heure des cours ?

oui daccord madame

elle alla sasoir a une place seule

enfaite en doit faire quoi

9H a 10h et de 15H a 16h

quoi je comprend pas madame j'ais demande ce qu'il fallait faire

elle sortit c'est afaire

vous devez continuer une histoire
lui distribue l'histoire ( s'il te plait va dans less pages suivante je ne veux pas faire encore une fois copier collé)
tu dois faire une page et demi a peu pres ^^

tape sur la table de lana et fait un regard empli de haine

Avez-vous oublié ma présence ?!
Vous allez corriger tout ça !

Sinon je ne pense pas que vous passerez
un bon séjour ici !

Le pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était pas la

c'est quoi l'histoir une chatte a diparut elle doit la retrouver c'est sa ou ces son petit amie

sursauta quand la dirlo tapa sur la table . De quoi elle parlé ?

Le pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas.
Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir
de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec
chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :

- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce
qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol
de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était plus là !

Maria était pourtant persuadée d'avoir laissé la porte de sa chambre fermée.
Et la lucarne était close à cause du froid. Comment avait-elle pu sortir ?
Troublée, la jeune fille ouvrit la petite fenêtre et examina les toits des
maisons alentour. Mimosa ne s'y trouvait pas. Elle l'appela plusieur fois
sans succès.
Maria décida de ne pas trop s'inquiéter. Après tout, ce n'était pas la
premiere fois que la chatte passait la nuit dehors. Elle espérait seulement
que sa fourrure lui tiendrait assez chaud.
Lorsque Maria se réveilla, son premier geste fut d'ouvrir la lucarne pour
appeler la chatte. Elle n'osait cependant pas crier trop fort, de crainte de
réveiller Angel, et surtout Juan. Elle devait être seule à l'atelier pour
terminer son agneau.
Malgré les appels répétés de sa maîtresse, Mimosa n'apparut pas. Maria
referma la fenêtre et entreprit de s'habiller.
Elle se rendit ensuite directement à l'atelier, et alla se camper devant le
tableau. L'agneau, son agneau, était là, le museau posé sur le berceau de
l'enfant Jésus, Elle l'examina d'un oeil critique. La laine n'était pas aussi
soyeuse qu'elle le voulait ; il foudrait qu'elle y travaille. Et il manquait
encore quelques détails : l'oreille et le museau étaient inachvés.
Le regard de Maria glissa sur la Vierge Marie. La où, la veille encore, il n'y
avait q'un ovale vide, le maître avait dessiné un visage, une figure douce
et mélancolique aux yeux d'un beau vert pâle, Maria pensa à sa mère.
Dans son souvenir, ses yeux étaient exactement de la même couleur...

- J'avais l'intention de prendre Sofia la muette pour modèle mais j'ai changé d'avis.
Maria se retourna vivement :
- Oh! Vous êtes là, maître. Je ne vous avez pas vu.
- J'ai peint le visage d'une felle que j'ai aimée jadis... Je l'ai perdue, ajouta-t-il.

vit qu'une eleve semblait avoir fini . se diriga vers yashiki

tu as fini ? je peux rammaser ta feuille ?

i]Le pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était plus là. Elle ne s'inquiéta pas. Toute la semaine elle fit ses tâche ménagères, acceptant les injures les plus injustes sans broncher.
Le dimanche elle se leva et alla a la messe. Puis elle retrouva Fernando Puerta Cerrada. Ensemble ils allèrent chez le collectionneur. Des bêtes sauvages étaient enfermées dans chaque cage. Ils avaient piteuses apparences.
Maria dit
"-Monsieur ? QU'est ce que c'est ?
-Un tigre, mademoiselle. Un jeune."
Elle s'approcha du petit tigre et le regarda. Il lui rappel quelqu'un. Elle se rendit compte qu'il n'était pas vraiment jaune [/i]

HJ : Je réédite z'en faites pas! ^^

yumi revint un moment plus tard, s'informa d'un quelquonque moyen du travail a faire et sortit une feuille et sa trousse, commenca a rediger
Les pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était pas à ronronner dans son panier comme à son habitude, d'ailleurs elle n'était nulle part ailleurs dans la pièce . Maria un peu inquiète pour sa chatte, se déshabilla et se glissa dans ses draps . elle s'endormit avec difficultés et se réveilla le lendemain en aillant l'impression d'avoir peu dormi .
elle ouvrit la fenêtre dans l'espoir d'apercevoir sa chatte au rebord de la fenêtre ou sur le toit voisin mais aucune trace de Mimosa .
Maria descendit, pris son déjeuner et s'en alla à l'atelier . elle sortit ses crayons et son dernier croquis, elle allait sûrement bientôt pouvoir le mettre sur toile fine car il était presque terminer . Maria ajouta encore quelque coup de crayon, fit les ombres et rangea son dessin dans le carton, elle rentra chez elle, rangea sa chambre et s'assit sur son lit, elle attendait impatiemment le lendemain . au aurore, elle irait rejoindre Francisco . rien qu'a cette pensée, Maria sourit, elle en oubliait presque mimosa .
le lendemain matin, Maria se leva très tôt et s'habilla pour ne pas être en retard . elle descendit et pris la calle Juan primero parallèle a son appartement, mais a peine Maria avait-elle entamait la rue, elle vit Mimosa . Maria n'était déjà parti en avance, elle ne pouvait pas se permettre de ramener Mimosa a la maison ! tant pis ! Maria n'allait pas non plus laisser sa chatte a la rue, elle la prit dans ses bras et courut jusque chez elle, laissa la chatte dans l'escalier et piqua un sprint jusqu'à la puerta cerrada . là elle y vit Francisco qui l'attendait, elle lui sourit, il lui rendit son sourire, ce moment là aurait pu durer longtemps si un passant ne les avait pas bousculer par inadvertance, ils revinrent a la réalité et prirent le chemin menant chez le collectionneur . Maria tomba en extase devant tous ses animaux, elle pris son carnet et dessina rapidement ceux qu'elle trouvait les plus intéressant . Francisco lui présenta son ami le collectionneur . Maria s'approcha d'une immense cage, recouverte d'un tissu sombre .
"-monsieur , qu'y-a-t-il dans cette cage-ci ?" demanda Maria
voyant le propriétaire des lieux réticant a répondre, Francisco lui parla quelques instant et son ami finit par céder, il souleva le tissu bordeaux pour laisser place au plus impressionnant des spectacles . un serpent .. plus grand que tout ceux que l'on pouvait voir dans les livres ... aussi vert que l'émeraude ... Maria tomba en extase devant l'animal . il lui inspira une telle crainte qu'elle se serra dans les bras de Francisco .

elle finit son devoir

Les pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était pas la a etre entrain de dormir dans son pagnier coomme il etait tard elle alla ce coucher mes le lendemain elle courut s'habbiller manget et alla sortire chercher sa chatte elle demanda a tout les autre habitant du village si il ne l'avait pas vu a la fin de la journer elle retouvat sa chatte enfin c'est ce qu'elle croyait mes cettait une autre chatte qui lui ressembler elle alla desuite voir francisco pour aller voir le collectioneur d'animaux elle desinat certain animaux mes soudain elle regarda une cage et vut sa chatte elle la reprit puis elle vit de scrocodil le chat a presque etait manger par l'un deux elle prit pour pour la chatte et la donna a francisco puis il rentrere ce coucher et le landemain elle retrouva francisco et elle l'ambrassa

hj : put!n tu pourrais au moins t'appliquer pour les expressions ecrite ! tu fais un nombre de faute ! tu va avoir une mauvaise note toi !

Modératrice Nombre de messages : 150 Age : 32 Date d'inscription : 28/08/2006

Les pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était plus à ça place habituel. Place qui était tout simplement le lit de Maria. Elle fronça les sourcils et s'assise sur le lit d'une manière pratiquement machinal. Puis elle se mit a mumurer d'un air mécontent :

- Rah...stupide chat...il est encore partit...

Elle soupira. En effet, l'animal, avait comme mauvaise habitude, de s'échapper quelques fois, chez les voisins. La chatte c'était lié d'amitiés avec eux, après que ces derniers lui avait offert un bol de lait frais, un jour de grande chaleur. Maria se mit debout, bien décidé a aller la chercher, et sur le champ! Enfin, c'est ce qu'elle allait faire, juste avant de découvrire qu'il était déjà plus de 21h, et que les voisins était un peu..vieux jeux, ici.

La jeune fille poussa un nouveau soupire exaspéré. Et jugea sage d'aller se reposer. Une longue journée l'attendait, demain. Elle enfila machinalement une chemise de nuit, et s'enfonça dans ces draps blanc, pour dormir jusque au lendemain.

...

Maria n'avait pas envie de se lever. Juste de dormir, de rester recroquevillé dans ces draps, mais pas se lever. Malheureusement, contre la fenetre grande ouverte, plaçé a l'autre bout de la pièce, elle n'avait aucune chance. Elle décida alors de se lever, d'un air grognon. Maria remarque que Mimosa, était enfin rentré. La chatte était au bout du lit, et n'avait pas l'air de vouloir a ce que l'ont la dérenge.

Eleve Habitué(e) Nombre de messages : 145 Date d'inscription : 04/12/2006

hmm.... c'est payant parce que si non ca ml'intéresse et puis mes fautes jen voie pas ^^

HEyyy que faites vous ?? ^_^

Du français lol ! ^_^

hj : asa, tu peux pas entrer en cours en gueulant comme ça !
:D et on fait une expression ecrite ^" il faut continuer une histoire

Waaaaaaouhhh c'est cOOl ^_^
Je peut essayer ?

okya tikashu a écrit:: he bien, sort une feuille pour commencer et tu doit me continuer une histoire, tu dois faire a peu pres une page et demi .
[ voilla l'histoire ==> Le pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était ]

Euh, ben c'est ça, mwa je refléchis po d'idées ~_~"

hj: vu que okya est un doble compte a moi, je vous previens, si vous etes present au cour et que vous ne faites pas le devoir , votre premiere note de l'année sera zero, et comme toi tu es present en cour au moment ou j'ai donné le sujet, tu dois faire la redaction si tu ne veux pas avoir zero

Argh

Le pas de la jeune fille la conduisirent à proximité de l'église San Nicolas. Depuis sa rencontre avec Fransisco, elle s'y rendait souvent, dans l'espoir de trouver un message. Comme à son habitude, le prêtre l'acceuillit avec chaleur. Et, cette fois, il avait une bonne nouvelle à lui annoncer :
- Ton ami le charretier est passé. Il te donne rendez-vous dimanche, à l'heure du coq, "puerta Cerrada" (porte de madrid).
Cette perspective enchantait Maria. Dans six jours, elle verrait les animaux venus d'ailleurs. Pourvu qu'elle puisse les dessiner !
Le père Pablo, qui s'était pris d'affection pour la jeune fille, lui demanda ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
- Nous allons voir des bêtes sauvages !
Le prêtre fronça les sourcils :
- Ah oui ? Et où donc ?
- Chez un collectionneur que Fransisco connaît, à l'extérieur de la ville. Mais ne vous inquietez pas, les animaux seront en cage.
- Prends tout de même garde à toi.
Maria opina, touchée par la sollicitude du prêtre.
Comme la nuit tombait déjà, elle rentra rapidement calle Cantarranas.
Avant de monter se coucher, elle s'arrêta à la cuisine, où elle avala un bol de la soupe qu'Ana avait préparée pour le déjeuner. La jeune fille rassembla ensuite quelques restes pour Mimosa et monta dans sa chambre.
La chatte n'était pas encore endormie : sur le lit, elle ne pouvait pas dormir sans que sa maîtresse soit arrivée. Maria mit sa chemise de nuit puis se brossa les dents vite fait. Elle s'empressa de le faire car elle était exténuée de sa rude journée...
Bizarrement, elle ne réussit pas à s'endormir tout de suite, elle pensait à Fransisco. Elle ouvrit ses beaux yeux bleus et caressa la chatte (qui s'était assoupie) pendant un instant, puis elle referma les yeux et s'endormit à son tour.

Le jour du rendez-vous

Maria se leva joyeusement et s'habilla sur-le-champ. Elle n'arretait pas de pensait au charretier, Fransisco. Elle alla regarder l'heure quand elle fut descendu dans la cuisine : 12 h 47 !! Il fallait qu'elle s'empresse de manger car Maria voulait acheter un cadeau à Fransisco...

Un peu plus tard à => 5 h 30 de l'après-midi.

Maria...

Mwa aussi alors ??? Xd

Ben... wi xD

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